La tempête est-elle en préparation du côté du ministère de l’éducation nationale? Cette question est d’autant plus légitime après le point de presse organisé le 28 Septembre dernier par le Syndicat national de la main d’œuvre non permanente et assimilés de l’éducation nationale (SYNAMONPEN).
Après des tentatives de faire entendre raison au Ministre de l’éducation nationale Camélia Ntoutoume-Leclerq sur le fondement de leurs revendications, la main d’œuvre non permanente serait prête à passer à la vitesse supérieure. Elle menace notamment d’entrer en grève pour dénoncer la non prise en compte de ses revendications par la tutelle.
Vers une grève de la main d’œuvre non permanente et assimilés ?
Dénonçant le mutisme de Camélia Ntoutoume-Leclerq par la non prise en compte de leurs revendications contenues dans leur cahier de charge, le SYNAMONPEN est vent debout et entend se faire entendre. En effet, ces derniers qui se disent “clochardisés” par la ministre de l’Éducation Nationale se disent prêts à passer à la vitesse supérieure.
Parmi leurs revendications, il y a l’intégration dans la Fonction publique, la revision de l’âge de départ à la retraite, la prime de risque, la révision des effectifs et la fin des discriminations salariales. Ces revendications seraient connues de la tutelle depuis le mois d’avril 2023. Dans cette optique, ces pères et mères de familles ont annoncé le dépôt d’un préavis de grève.